Critique / presse

« Captain America » effectue un retour gagnant sur les écrans. (…) Chris Evans fait une brillante entrée au Panthéon des superhéros et trouve, enfin, la consécration qu’il mérite.

Télé 7 Jours


C’est tout le secret, toute l’efficacité d’un récit aussi usé que le rêve américain : que l’éveil d’un héros ne se donne qu’à condition de pouvoir reconnaître en lui les traits de l’anonyme sur qui le surhomme a germé ; que la charpente sur-dimensionnée du capitaine Amérique laisse intact le regard niais de l’enfant ingrat qui, autant qu’à l’Amérique, voudrait plaire à la fille d’à côté.

Chronic’art.com


Lorsqu’il s’agit de déterminer lequel de tous les longs-métrages qu’Hollywood déverse sur le monde [durant l’été] ressemble le plus à un vrai film, distrayant et spectaculaire, mais aussi cohérent et respectueux de l’intelligence des spectateurs, « Captain America » remporte le trophée. Il y a de quoi satisfaire n’importe quel estivant en quête de distraction sans conséquence.

Le Monde


Il n’est pas question ici de réinventer le comic et ses archétypes mais de le détourner, de jouer sur le décalage entre une ambition de blockbuster et cette dimension assumée de cinoche à l’ancienne dont le réalisateur tire le meilleur parti – timing parfait, répliques qui font mouche, ironie mordante.

Première


Joe Johnston donne son comptant de testostérone et d’action à l’amateur de justicier façon bande dessinée.

20 Minutes